poulailler où
caquetaient des
poules et des
poulets.
Mais, chaque nuit,
en grand secret une
volaille
disparaissait.
- C'est toi le voleur !
cria-t-il à son chat. C'est dans mon poulailler que tu prends tes repas !
Le chat jura sur l'honneur qu'il n'avait pas touché ni poule ni poulet.
- Non seulement tu voles, mais tu mens ! l'accusa le paysan. Si ce n'est toi,
allons voir qui donc commet le forfait.
Ce soir-là, lorsqu'il fit bien noir, le fermier tendit un
piège discret à l'entrée du poulailler, pour en avoir
le coeur net. Le lendemain, la preuve était faite :
il trouva, enfermé dans sa cage, un chat sauvage.
Il ne faut pas porter d'accusation sans avoir de bonnes
raisons !
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